
CHRONOLOGIE DES PARTICULES 3
En construction...
Reprise de la synthèse du livre.
Chronologie de l'histoire universelle, création de la pré matière dans un espace pré temporel
La Roue de la Permanence au Principe Créateur est représenté par un cercle uniforme pour caractériser la continuité infinie de son mouvement supra énergétique. Une couleur unique pour symboliser l’indifférencié, et en son centre, l’Être fondamental identifiant l’émanation consciente de son Principe. La Permanence représente le monde de la perfection intemporelle Super Synchrone, Super Symétrique ainsi que l’amour indifférencié. Un monde si parfait qu’un minima suffirait à en déranger l’ordre originel. Un monde parfait ne peut se reconnaître dans cet état sans l’existence contrastée de son imperfection paradoxale. Deux mondes à la fois antagoniques et complémentaires se justifient l’un et l’autre, coexistent et perpétuent de cette façon la réalité immuable d’un équilibre identitaire intermédiaire, seule réalité palpable et mesurable. L’imperfection tout autant que la perfection subsistent par dissemblance pour leur propre légitimation. Ainsi l’ordre établit d’une règle perpétuelle parce que intemporelle, est contrebalancée par l’instabilité d’un chaos éphémère temporel. Avant de vous dérouler la chronologie de notre réalité spatio-temporelle, il est à rappeler que ces deux mondes, intemporel et temporel, ont toujours coexisté, puisque tous deux se maintiennent réciproquement et indéfiniment par le non temps du premier et par les cycliques du temps du second. L’histoire de l’humanité qui vous est comptée dans ce manuscrit est une interprétation s’appuyant sur une logique de causalité soumise par définition aux évolutions de la forme intelligente dans le temps. Toute séquence de temps s’exprime dans des cycles justifiant l’existence continue d’une Genèse de l’Humanité (4,86Ga) dans le cycle de l’univers (14,76Ga). Ainsi débute le récit de notre humanité...
Dans le déroulé du temps depuis l’intemporalité, l’Être fondamental encore en état de totale fusion avec son Principe Créateur et vivant la totalité de sa réalité indifférenciée, «décide» ou crée l’intention de visiter les composantes qui conditionnent son état d’Être vivant. C’est en quelque sorte rechercher et accéder à la connaissance du principe divin qui anime son ou notre existence. Cependant, il n’est pas possible de vivre deux états d’être différents au même instant. À savoir, vivre la réalité supra conscience du soi indifférencié dans l’instant présent hors du temps et disposer du recul nécessaire pour s’observer et s’interpréter depuis une conscience obligatoirement fragmentaire puisque pensée. De toute évidence, la supra conscience et l’inconscience ne peuvent être vécues en même temps. Pour matérialiser son choix de profane, l’Être doit quitter son univers unifié indifférencié et prendre de la distance avec lui-même pour tenter de distinguer le principe premier qui l’anime de son vivant. Passer d’un vécu spontané à un droit de regard intentionné, crée un choc des réalités entre un vécu unifié dans l’instant et le dissocié d’une interprétation dans le temps. Un droit de regard si minime suffit à déranger un ordre originel aussi entier et intransigeant. La règle de trois intemporelle, unifiée et indifférenciée est depuis toujours impénétrable quelque soit la forme intentionnée. L’intention à l’initiative de l’appétence exige une reconsidération de sa propre identité. L’instant présent hors du temps ou en pointillé dans le temps n’est habité d’aucune intentionnalité, ni d’aucune prétention. L’Être en totale fusion avec son principe divin est la totalité et ne prédispose dans l’absolu d’aucune autre ambition. Il est en tout et dispose du tout. Le changement de réalité ou le passage de l’unité à la séparation occasionne une rupture avec l’amour indifférencié. Corrompant son état initial et créant une succession de causes à effets, il s’enfonce dans un chaos aux proportions toutes aussi démesurées et infinies, se perd dans la totalité des temps et rompt avec son unité. Ce moment, situé à 10-62s, décrit un changement d’état fondamental de la Roue de la Permanence dont la supra énergie se fige dans une supra résistance inertielle. L’unité originelle se scinde tout en révélant trois éléments distincts. Le chaos engendré ne laisse aucune chance à l’Être fondamental en perdition de se ré-approprier l’équilibre originel. Il se retrouve dans le balancier des disparités qui exigera beaucoup de temps et d’expériences pour regagner une complétude. A cet instant, la taille de l’univers est pour certains, pas plus gros qu’une tête d’épingle et pour d’autres, cent mille fois plus petit qu’un atome d’hydrogène. Cela paraît inconcevable mais d’après l’étude des particules fondamentales, la matière est de l’énergie en mouvement. Le noyau et l’électron de l’atome sont eux-mêmes composés d’énergie et l’espace qui les sépare est cent mille fois plus grand que le noyau lui-même. L’atome est en réalité constitué à 99,99% de vide ou d’énergies en interaction entre attraction et répulsion. Dans le concept, les axes de dissociation en rouge représentent une interaction de séparation par la force répulsive entre une énergie et sa résistance (inertie). Alors que les axes associatifs en bleu expriment une interaction créative de la matière par la force attractive entre une énergie et une résistance. Une interaction est donc soit dissociative (répulsive), soit créative (attractive) par la force. 10-62s représente un instant si bref qu’il est impossible de le reproduire ou de l’approcher mathématiquement. La Supra Résistance est ici soumise à une surtension si forte quelle ne peut contenir plus longtemps l’énergie quelle renferme. Un tiers de sa résistance (étape N°2) se transforme en force énergétique répulsive gravitationnelle (étape N°2’ 10-52s) créant l’espace pré-temporel représenté par le premier niveau de la Genèse [Le schéma N°9 associe la représentation classique de l’expansion de l’univers avec le concept géométrique]. Cette force gravitationnelle répulsive faible microcosmique arrive au paroxysme de son amplitude résistante (étape N°2’’ 10-42s), libérant l’énergie par l’interaction de scission Super Force ou Big-bang. Nous pouvons constater une inversion des éléments Matière et Esprit par rapport à la position initiale Supra Résistante, résultant de la perte d’identité de l’Être fondamental passant de l’unité à la séparation. A cet instant nous sommes encore dans le monde de l’antimatière. La taille de l’univers reste inchangée.
Une résistance est un potentiel énergétique maintenu par la force, le vide en est la meilleure expression : Pour passer d’un état de résistance inertielle à un état d’énergie libre de mouvement, de la même manière, pour passer d’un état énergétique à un état de résistivité, l’instant de transition s’accomplit dans le premier cas par une force interactive séparatrice ou de dilution, et dans l’autre cas, par une force interactive associative ou de condensation. L’une libère l’énergie emprise dans la résistance et la seconde recompose une résistance par une force énergétique concentrique. Une fois libérées, les énergies attractives ont un effet homogène et constant sur l’espace-temps/matière, alors que les forces énergétiques répulsives sont inconstantes, avec des effets arbitraires. Comment se forme la matière ?.. L’énergie originelle supra énergétique ne connaît pas l’inertie, la résistance ou encore l’espace-temps, elle est par conséquent totalement fluide, libre de mouvement puisque sans retenue par son intemporalité. Elle s’exprime par conséquent dans une vitesse infinie et les particules qui la composent sont parfaitement synchrones entre toutes. Une énergie sans forme apparente, super symétrique, qui caractérise l’antimatière. Cette énergie à tendance répulsive est maintenue de manière concentrique par les forces subjectives en un point central conditionnant le tout. Lorsque celle-ci est confrontée à son paradoxe, une supra résistance inertielle, dénotant le caractère temporel et asynchrone, les particules qui la composent sont ralenties par la force inertielle temporelle, et adoptent une circularité dont la courbe dépendra de la force résistive rencontrée. Certaines d’entre elles épouseront la forme de l’univers (nucléaire forte répulsive et gravitation faible attractive) alors que d’autres prendront l’aspect de particules élémentaires, les premières briques de la matière (de la nucléaire attractive forte à l’électromagnétique). La matière est de l’énergie densifiée parce que ralentie en conséquence de quoi elle adopte une fréquence de vibration correspondante. Pouvons-nous imaginer l’existence de plusieurs plans vibratoires énergétiques permettant d’expliquer les différents mondes ou degrés de réalités ?
Séquence dualité antimatière/matière, faible/fort...
A 10-42s, la force de scission appelée Super Force ou Big-bang est arrivée au paroxysme de son amplitude et libère maintenant l’énergie gravitationnelle faible attractive sur un plan macrocosmique et potentialise une nouvelle force répulsive dite nucléaire dont l’amplitude maximum annonce l’interaction de séparation électronucléaire à 10-32s. La force énergétique répulsive nucléaire accroît considérablement l’amplitude de l’univers représenté par le deuxième niveau de la Genèse. A l’intersection de l’énergie gravitationnelle attractive et de la force répulsive nucléaire, se crée le premier axe créatif appelé Pouls correspondant à l’élément Matière. Il annonce la création de particules fondamentales permettant d’identifier la pré-matière différenciée de l’antimatière. L’axe du Pouls de l’élément Matière manifeste la création de la dualité entre antimatière et matière, entre faible et fort. Nous avons au total 3 forces énergétiques répulsives libérant de la Supra Résistance 3 énergies attractives, dont la gravitation, le nucléaire et l’électromagnétique. Notons que l’énergie gravitationnelle faible est en dualité avec la nucléaire forte, dont la tempérance donnera naissance à l’énergie électromagnétique pondérée, apportant un équilibre intermédiaire. Elle sont toutes trois en réalité des énergies électromagnétiques faible, forte et pondérée. Elles conditionnent ensemble les Roues du Mouvement et déterminent les 3 paramètres du mouvement entre l’orientation motivée par le sens gravitationnel, l’amplitude par la puissance nucléaire et la vitesse pondérée de l’électromagnétique nécessaire à la morphogenèse. La morphogenèse définit l’évolution ou le développement des formes. Le macrocosme sous-entend l’infiniment grand de l’univers, le microcosme l’infiniment petit des particules élémentaires et le planétaire, les systèmes solaires intermédiaires. Autre point, la science classifie la radioactivité comme étant une force nucléaire faible, alors que dans ce concept, elle est représentée par la gravitation répulsive faible. En effet, la force nucléaire déjà attractive forte et répulsive forte ne peut accueillir une troisième valeur énergétique. Quant à l’hélice de l’Expérimentation, elle s’activera à partir du début chronologique de l’humanité annonçant les balbutiements des sens de la vie cellulaire.
Séquence Asymétrie, de la non forme à la forme tangible...
A 10-32s, la force de scission électronucléaire libère une énergie nucléaire forte devenue attractive sur un plan microcosmique et potentialise par la force énergétique répulsive pondérée électromagnétique, la troisième et dernière interaction, l’électrofaible à 10-13s. La force répulsive électromagnétique permettra de créer la dimension des systèmes solaires représentée ici par le troisième niveau de la Genèse. Durant la libération de la force nucléaire forte attractive, se crée de nouvelles particules énergétiques, les quarks. A l’intersection de l’attraction nucléaire forte et de la répulsion électromagnétique, s’active le deuxième axe Créatif, le Verbe. Cet axe annonce la création d’un quark neutre sans antiparticules créant une asymétrie entre l’antimatière et la matière. Entre temps, l’univers en expansion atteint un volume de 300 Millions de km.
Séquence asynchronisme, du pré temporel au temporel...
A 10-13s, la force de scission électrofaible libère une énergie électromagnétique pondérée devenue attractive sur un plan planétaire et potentialise une force répulsive gravitationnelle faible microcosmique, bouclant le cycle d’une seconde. Durant l’attraction électromagnétique, les quarks/antiquarks et quarks neutres se sont assemblés pour créer les protons/antiprotons et les neutrons/antineutrons. A l’intersection de l’attraction électromagnétique et de la répulsion gravitationnelle, se crée l’axe du Souffle annonçant la perte définitive des antiparticules des protons et des neutrons. Par la même occasion, les électrons et les photons se forment avec l’énergie de l’annihilation des antiparticules. Fin de l’antimatière, une seconde après le Big-bang le mouvement spatio-temporel cyclique est définitivement créé avec ses trois énergies coordonnées. Les 3 énergies libérées ont façonnées le mouvement macrocosmique de l’univers ainsi que le mouvement microcosmique par les quarks au sein des protons et neutrons. De cette manière, la règle fondamentale a été rétablie aussi bien dans l’infiniment petit des particules qui habitent toute matière que dans l’infiniment grand de l’univers. Ce premier cycle temporel d’une seconde a permis d’élaborer les premiers protons et neutrons ainsi que le mouvement de coordination spatio-temporel des trois énergies. A partir de cet instant, 1s après le Big-bang, toute nouvelle Création (chronologie de l’hélice) sera coordonn avec le déroulé Animé d’un seul élément en transition sur les 3 éléments. La création tente ainsi de réunifier dans le matière avec la coordination de l’Animation, la complémentarité paradoxale des trois énergies représentatives des trois éléments fondamentaux. Le principe de coordination dans la matière est un moyen de synchroniser un mouvement devenu asynchrone puisque temporel.
L’asynchronisme qualifie la non-instantanéité de l’échange entre deux communicants : L’asynchronisme caractérise un échange alterné et décalé dans le temps, par opposition à un phénomène synchrone qui qualifie un échange instantané par la simultanéité des dialogues. L’asynchronisme fait preuve de minima ou d’absence de synchronisation : pendant que l’émetteur transmet son message, le récepteur doit attendre la fin du message pour émettre à son tour. En informatique, l’exemple du courrier électronique démontre l’aspect asynchrone du mode de communication, par le décalage dans le temps des échanges. Pour le transport de données en réseaux locaux ou étendus (télécommunications), les courants électriques de très faibles intensités permettent de véhiculer des données analogiques ou numériques selon des encodages adaptés. Le modèle OSI* proposé par l’ISO est un modèle de référence pour interconnecter les réseaux et systèmes, il est composé de 7 couches. En télécommunication, avec un mode de transmission asynchrone, l’émetteur et le récepteur doivent avoir des fréquences d’horloges suffisamment proches pour limiter les décalages entre les deux correspondants (exemple : modems téléphoniques). En électronique, nous parlerons de courant alternatif, un courant électrique qui change de sens périodiquement. Le courant alternatif n’est pas un courant asynchrone et n’est communément pas utilisé pour communiquer puisque consacré exclusivement ou presque à distribuer de l’énergie (cependant depuis quelques années, il existe des prises électriques permettant de transporter des données numériques à haut débit encodées dans le courant alternatif). Cependant, il présente une périodicité sinusoïdale dans son activité, le rendant discontinu dans son intensité, mais ne présente pas de délais dans l’approvisionnement de l’énergie, seulement en fonction de la résistivité du conducteur.
Le courant alternatif domestique périodique est caractérisé par sa fréquence, mesurée en hertz. C’est le nombre d’allers-retours qu’effectuent les électrons du courant électrique en une seconde. Un courant alternatif périodique de 50 Hz effectue 50 cycles par seconde, c’est-à-dire qu’il change 100 fois de sens par seconde (50 allers et 50 retours) [120 fois par seconde aux États Unis (60Hz)]. Le courant alternatif est sinusoïdal puisque ses valeurs s’alternent dans le temps. L’opposé du courant alternatif est le courant continu dont le sens est invariable, les charges électriques circulent toujours dans la même direction (exemple : pile, les électrons vont toujours dans le même sens du moins vers le plus).
Rappel :
s = seconde
mn = minute
M = Millions d’années (1000.000)
G = Milliards d’années (ou Giga, 1000.000.000)
Modèle OSI du transport réseau :
1 = physique (Conducteur)
2 = Liaison (protocole LAN/WAN de point à point)
3 = Réseau (protocole de routage intelligent)
4 = Transport (Encodage des données)
5 = Session (gestion de la synchronisation ou de la transaction)
6 = Présentation (codage des données Applicatives)
7 = Application (données mises en forme par le logiciel pour être exploitées)
![]() chro1.jpgDe l'unité intemporelle indifférenciée à la séparation des 3 éléments figés dans le temps. La Supra énergie en mouvement se fige instantanément en rencontrant son paradoxe tout aussi excessif dans sa Supra Résistance. Les éléments Esprit et Matière s'inversent suite à la différence de potentiel qui se crée entre eux. L'histoire de l'évolution débute par l'élément Esprit, le détenteur du libre arbitre (polarité négative). | ![]() Chro2.jpgDe la séparation des 3 éléments à la libération de la première énergie faible gravitationnelle. Arrivée à son paroxysme répulsif, elle exprime par une Super Force ou Big-bang la limite explosive de son amplitude maximale. Le Big-bang est modélisé par le premier axe de l'Animation représentant le chaos libérateur par un mouvement divergent de sa part devenue ondulatoire. L'axe sépare l'élément Esprit de la Matière (encore dans l'antimatière). | ![]() chro3.jpgDu Big-bang à la force de séparation électronucléaire en passant par la libération de l'énergie gravitationnelle attractive faible et nucléaire répulsive forte. L'antimatière est en dualité avec la pré-matière. |
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![]() chro4.jpg | ![]() chro5.jpg |