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SYNTHESE

 

Vous avez dit impossible, je le croyais jusqu’à ce que l’évidence se manifeste. Comprendre le sens et accéder à la cohérence de l’univers et de l’humanité, c’est aujourd’hui possible. Ainsi, Dieu ou la Création dans son ensemble serait l’œuvre d’un processus originel identifiable. Les apparences trompeuses altèrent notre capacité à percevoir l’essentiel dans sa plus simple expression. Toute découverte fondamentale naît d’un concours de circonstances fortuites mais vraisemblablement orchestrées. C’est lors d’une expérience spontanée qu’il m’a été permis d’accéder à la compréhension de ce qui vous est livré.

 

En réalité, quelques lignes suffisent pour décrire les fondamentaux à l’origine de notre réalité et du sens de l’existence. Vous ne regarderez et vivrez plus les choses de la même manière, l’essentiel se détachera de l’accessoire.

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Avant toute chose, j'aimerais préciser ma position par rapport à la Théorie des cordes, les 12 dimensions des Ummites et la physique quantique. Ce manuscrit ne fait référence qu'à la quatrième dimension puisqu'elle constitue la base de toute réalité qu'elle soit manifestée ou pas. En effet la quatrième dimension prend en compte le présent ou plus encore, l'instant présent entre un passé qui n'est plus et un futur qui n'est pas encore. Celui-ci est déterminant puisqu'il est la raison d'être de toute chose animée et inerte. La vie consciente et quelque soit son degré vibratoire (univers parallèles) s'exprime ou prend conscience de son existence par la phénoménologie s'exprimant dans l'instant présent de la quatrième dimension. Seul l'instant présent est une réalité sur le plan de l'Être fondamental. Pour le reste, nous créons des mondes qui prennent une consistance dans notre imagination jusqu'à la mort de nos propres croyances.

 

En premier lieu, toute chose existe par effet de conscience. La conscience est le révélateur de notre propre existence ainsi que de toute manifestation. La conscience est phénoménologique, c’est-à-dire d’ordre existentialiste. C’est vivre dans l'instant en continuité dans le temps, l’effet furtif et insaisissable du flot de l’existence porteuse d'une conscience identitaire. La conscience de notre identité d’Être s’expérimente par le biais du vécu restant pour le peu insaisissable et non maitrisable. En fait la phénoménologie est omniprésente, aussi bien sur le plan de la création que de la destruction, prenons pour exemples l’espace, le temps, la matière, l’équilibre et le feu. L’espace d’une pièce au contenant délimité enferme de l’oxygène qui en devient son contenu, mais l’espace en lui-même est insaisissable. Le temps est par définition immatériel. Nous pouvons observer les conséquences matérialisées des événements qui se sont déroulés sans pour autant pouvoir saisir l’instantanéité du moment présent détenteur de la réalité du vivant. L’atome qui procure à la matière son apparence et sa densité serait lui aussi paradoxalement insaisissable. On peut le manipuler, le désagréger, l’étudier mais il n’est toutefois pas possible d’effectuer un arrêt sur image des énergies en mouvement qui le composent. Si s’était le cas, ce ne serait plus un atome mais du vide. Et l’équilibre ou point de gravité est le résultat d’un agencement naturel en forme de triangle des points d’appuis de toute masse soumise à la gravité. Ce point de gravité en adaptation constante est lui aussi immatériel. Pour finir, le feu par combustion lente ou rapide est à la base de toute destruction ou réorganisation des molécules de la matière. Le feu est d'ordre phénoménologique. En conclusion, les fondamentaux contribuant à la réalité de notre monde seraient d’ordre phénoménologiques, c’est-à-dire fictifs d’un point de vue objectif. Serions-nous illusion ? Si nous sommes l’illusion de notre propre conception, alors nous existons en amont de cette illusion pour l’avoir créée. Un principe créateur vivant la potentialité de sa réalité sous forme de rêve éveillé. Ce principe créateur revêtu de ses multiples apparences matérialise dans un espace temporel l’expérience d’un vécu pour autant authentique. La phénoménologie d’ordre existentialiste est le résultat d’une combinaison de conditions favorables à sa manifestation. Quelles sont-elles ? Je propose que toute existence participant à la cohésion de notre univers, des particules fondamentales à tout l’espace intersidéral, soit habitée d’un ordre établi au processus fractal identifiable. Un processus par trois dont l’effet phénoménologique, quatrième valeur obtenue, conduirait à la manifestation d’un vécu subjectif mais substantiellement réel. Ainsi, trois paramètres complémentaires conjugués au même moment produisent les conditions favorables pour créer l’effet phénoménologique suggérant la quatrième dimension d’un état d’Être. Il y a bien entendu autant de degrés de conscience qu’il y a de formes dans l’univers. Le tout étant habité d’une conscience crée dans l’absolu la potentialité d’une symbiose totalisante supra consciente accessible pour chacun des Êtres en complétude avec lui-même, se prêtant à la communion.

Posons-nous la question, quelles seraient les conséquences sur les plans de la connaissance et du sens de l’existence si l’on parvenait à décrypter le processus à la source de toute manifestation phénoménologique ?

 

Maintenant, étudions ce qui s’est passé à l’origine de l’univers. Au commencement annoncé par le big-bang, une gigantesque explosion libère par la force des énergies à l’origine de l’espace, du temps et de la matière. Il est à noter que toute la suite de l’évolution découlera de ce premier instant de la Création. Cette libération titanesque est le fruit d’une rencontre entre un concentré énergétique au mouvement supra conducteur et la résistance inertielle du néant. Le libre mouvement en frottement avec la résistance du néant donne vie à la polarité de l'électromagnétique, aux implications faibles, fortes et pondérées sur l'espace et la matière (+, - et neutre). La forme apparente et l’équilibre naissent donc de la fusion du plein infiniment petit avec le vide infiniment grand. Cette fusion est à l’origine d’un processus transitionnel à la fois annihilateur et créateur qui façonnera dorénavant toutes les formes empruntées de la plus petite à la plus grande échelle. Nous assistons au passage d’un état statué à celui d’imprévisible, de l’unité à la multitude, de l’intemporalité à la temporalité, de la fluidité énergétique à la densification palpable... L’apparence évolue mais le fond processionnel immatériel reste identique. Pourquoi et quel en est le sens ? Difficile de s’imaginer un concentré d’énergies plus petit qu’un atome donner naissance aux milliards de galaxies qui composent notre univers.

 

Quelles sont ces énergies et comment se décomposent l’espace, le temps et la matière ? Dans la première seconde de temps succédant au big-bang, trois énergies se séparent et s'expensent en créant l’espace pendant que les premières particules fondamentales aidées des mêmes énergies se densifient : la gravitation faible, la nucléaire forte et l’électromagnétique. Cette dernière naît de la pondération des deux premières, donnera forme et existence aux astres et à toutes les formes de vies planétaires. Il a fallu une seule seconde pour créer un espace occasionnant un temps de propagation d’une prématière sous formes de protons et de neutrons. Arrêtons-nous un instant sur cette première seconde de la création, nous avons trois énergies avec trois intensités, un espace à trois dimensions, une temporalité conditionnée par un passé, un présent et un futur et des protons/neutrons (futur noyau atomique) composés chacun de trois quarks. Nous pouvons déjà constater que le chiffre trois omniprésent est commun à tous ces fondamentaux. Quelle en est la signification ? Le nombre trois en conformité avec la règle des trois fondamentaux crée les conditions premières pour potentialiser le point d’équilibre, par lequel se révèle la quatrième valeur phénoménologique. Un point d’équilibre unifiant porteur du sens de l’unité identitaire et donc d’un premier degré de conscience. Cette règle conciliant les extrêmes opposés (paradoxe ou dualité) crée la potentialité du juste milieu, troisième point, dont la triangulation identifie le véritable équilibre par le quatre, l’incarnation du Un réunifié personnifié. Le troisième point identifiant le centre et la modération du liant entre extrêmes opposés, ouvre la perspective de l’équilibre dans l’unité de leurs convergences (quatrième point). Cette triangulation se créée de la même manière sur le plan de l’espace puisque lui-même est habité des trois énergies. L’atome fondateur (électron, proton, neutron) tout autant que le feu annihilateur (comburant, combustible, énergie) sont le résultat respectif de trois conditions réunies et maintenues dans le temps. La lumière (4) du photon naît du frottement généré par une relation (1) étroite, intime et indissociable onde (2) corpuscule (3). Toute identité est le fruit d’un processus unifiant révélateur d’un degré de conscience existentiel du plus primaire au plus absolu. Ce dernier conditionne une relation fusionnelle et inconditionnelle entre tout. L’univers est une entité vivante procréatrice de sa propre condition dont le mouvement perpétuel met en équilibre un processus annihilateur avec un principe créateur nourrissant le cycle du renouveau constant avec comme paradoxe un début et une fin. Il est en effet possible de le démontrer par le biais de la géométrie à même de concilier la cohésion des mathématiques (objectivité) avec la symbolique représentative (subjectivité). Pour être en complétude avec lui-même, l’Être vit de manière cyclique différents degrés de conscience dont les plus aboutis sont : être en présence du potentiel supra conscient de son Être vivant ou accéder un temps donné à la connaissance des conditions de son existence. Ainsi deux conditions d’Être se distinguent entre être authentique dans la spontanéité de l’instant ou se réinventer indéfiniment et intentionnellement sous une forme ou sous une autre. Tout a un sens dans l’univers puisque tout est cause à effet accréditant une interdépendance généralisée.

 

Notre monde par trois est à l’image, non pas sur la forme mais sur le fond, de sa propre origine phénoménologique auto procréatrice.

 

Vous trouverez également dans ce livre :

- La chronologie universelle des particules fondamentales à l'humanité selon une évolution basée sur des cycles.

- La cohésion du chaos avec l'ordre, l'un ne pouvant exister sans l'autre.

- Notre position dans l'évolution universelle et planétaire.

- La représentation géométrique de la règle fondamentale que l'on retrouve également sur le plan moléculaire.

- Les neuf sens principaux du vivant (27 au total).

- Sciences, religions et humanisme existentiel.

- Les notions d'infini, d'éternité ou encore d'instant présent.

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Lien video sur Dailymotion

La pyramide universelle représente l’Être illuminé de son Principe Créateur et l’Humanité dans l’ombre de son procréateur
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